Départ de la Chapelle en Valgaudemar, refuge du Gioberney
Circuit au milieu des cascades et des fleurs vers le lac du Lauzon. Dans le cadre exceptionnel du cirque du
Gioberney, au-dessus de la cascade du Voile de la Mariée, ce lac est un petit joyau serti dans une couronne de montagnes grandioses, tel que le majestueux Sirac.
La flore de montagne y est très riche, avec notamment des Lys martagon, des Edelweiss…..et beaucoup d’autres encore.
Ne vous effrayez pas trop de la route, on co-voiture, et c’est plus économique et sympa. Voir détails plus bas.
Il y a encore de belles plantes à voir en haute montagne et nous ne résistons pas à monter encore plus haut pour voir cette flore si rare et à floraison éphémère qui pousse peu après la fonte des neiges. Nous vous proposons donc une belle randonnée au départ du Col Agnel.
La randonnée se fait d’abord dans une mégaphorbiaie*, et ensuite nous passerons par des éboulis et des combes à neige**. La flore y est exceptionnelle.
Sortie printanière aux Mourres ou nous avons pu observer quelques plantes assez rares et typique de ce milieuou les plantes poussent dans un sol aride, sous un soleil et un vent implacable:
Lande à genêt de villars, pelouses sèches et marnes
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La géologie : Les curieux édifices des Mourres sont formés de calcaires massifs, un peu crayeux, et contenant localement des coquilles de gastéropodes. Originellement noyés au sein de marnes beiges, ils sont le plus souvent dégagés par l’érosion et donnent lieu à 5 types de formes pittoresques : ondulations, monticules, meules de foin, cylindres et vasques. Une origine lacustre : Les roches qui constituent aujourd’hui les Mourres se sont formées en milieu lacustre, il y a environ 25 millions d’années. Elles auraient pour origine la stabilisation d’un sédiment calcaire par des herbiers. Plus récemment, une érosion différentielle a dégagé les édifices consolidés par les constructions algaires. Les formes spectaculaires en vasques auraient pour origine la nécrose de la partie centrale des îlots algaires au fur et à mesure de leur croissance verticale et latérale. (Source : Parc du Lubéron)
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Voici quelques photos suivies d’une liste non-exhaustive des plantes observées :